Au mois de juillet, j’aime aller à un de mes festivals chouchous. C’est Gindou.
Ça rime.
A Gindou, on regarde des films, des documentaires, des fictions, des longs et des courts. Marie Virgo et Sébastien Lasserre nous concoctent toujours une programmation aux petits oignons.
Et puis le plein air de Gindou, c’est toujours mémorable. Parce que voir son film projeté sous le ciel étoilé du Lot, devant des centaines de spectateurs confortablement installés dans l’amphithéâtre, sur leurs petits coussins, tous les regards portés dans la même direction, c’est d’une beauté inégalée.
Cette année, et avec ce film, c’était encore plus paticulier.
Parce que pour la première fois, de manière aussi synchrone, les musiciens sont sortis de l’écran pendant le générique, et les spectateurs sont devenus les personnages du film. Magique.
Comme si nous avons aboli la frontière entre l’écran et le réel.
Ci dessus, photos de Nelly Blaya
Photos de Lise Clavier.
Photos de Frederic Caray